Principaux enjeux
Pauvreté & aide financière
Les personnes handicapées ont tendance à être les plus pauvres dans une société donnée. Au sein de ce groupe, les personnes présentant une déficience intellectuelle sont plus à risque.
Dans notre société, nous accordons une grande valeur au travail rémunéré.
- De nombreuses personnes handicapées aimeraient travailler, mais elles se heurtent à des obstacles à l'emploi qui rendent très difficiles la recherche et la conservation d'un emploi. Même si les aménagements font partie de nombreux lieux de travail, il faut des encouragements et des ressources financières pour y parvenir.
- Some people with impairments cannot work.
Au lieu de recevoir un revenu du travail, elles reçoivent une aide sociale sous forme de "soutien du revenu" provenant de programmes comme le Programme ontarien de soutien aux personnes handicapées. Le POSPH comprend également des prestations pour soins de santé, soins dentaires et médicaments. Le POSPH et les autres programmes d'aide sociale sont censés protéger les gens de la pauvreté.
Le POSPH verse à une personne seule 672 $ par mois pour les besoins de base, et 497 $ pour le logement (loyer).
Selon la " mesure du panier de consommation " de Statistique Canada, les besoins essentiels d'une personne seule à Ottawa coûtent 2 072 $ par mois ou 24 864 $ par an.
Un autre indicateur de la pauvreté est le seuil de faible revenu (SFR). Le SFR d'une personne vivant dans notre communauté en 2022 est de 22 060 $ par année.
Si vous recevez le POSPH, vous ne recevez probablement que 14 082 $ par année.
Au lieu de permettre aux personnes handicapées de vivre une vie digne, les programmes d'aide sociale les maintiennent dans la pauvreté, et empiètent ainsi sur leurs droits tels que définis dans le Protocole des Nations Unies.
Enfin, le coût du soutien et de l'aide à la vie autonome n'est pas pris en compte dans l'aide sociale aux personnes handicapées.